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Photo du rédacteurHumanity For The World

Humanity For The World (HFTW) participe au dialogue constructif du bureau de l'Organisation des Nations Unies de lutte contre les drogues et le crime sur sujet du " trafic illicite de migrants "

Dernière mise à jour : 24 juil.

Représenté par sa présidente, le Dr.h.c Audrey POMIER FLOBINUS, Humanity For The World HFTW) a été invité en sa qualité de membre du groupe de travail du 11e réunion sur le trafic illicite de migrants, à participer au dialogue constructif sur le trafic illicite de migrants qui s'est tenu le 15 juillet 2024 de 10h00 à 13h00 - 15h00 à 18h00, au siège de l'ONU à Vienne en Australie

Sous houlette des co-présidences le 11e Groupe de travail sur le trafic illicite de migrants s'est déroulé sous format hybride durant deux sessions (matin/après-midi).

Pleins feux sur la 11e réunion du Groupe de travail sur le trafic illicite de migrants

Une table ronde a abordé les thèmes suivants :

  • Prévenir et combattre le trafic illicite de migrants grâce à la coopération internationale tout en s'attaquant à ses causes profondes, conformément aux dispositions de la Convention des Nations Unies contre les activités transnationales organisées. La criminalité et ses protocoles.

  • Mesures de protection et d’assistance pour les migrants objet d’un trafic illicite.

Les panélistes issues des organisations suivantes ont réalisés un plaidoyer remarquable sur la situation actuelle sur sujet du trafic illicite de migrants  :

  • Université du Caire, Faculté des Sciences Économiques et Politiques (FEPS)

  • Afrique Peul

  • Association brésilienne pour la défense des femmes, des enfants et des jeunes (ASBRAD)

  • Groupe de travail des femmes (WWG)

  • Casa Monarca, Aide Humanitaire aux Migrants, ABP

  • Collaboration de l'Université de Georgetown sur les questions mondiales relatives aux enfants

  • Notre voyage

  • L'Initiative Probono des Femmes


Échange interactif sur les activités pertinentes des parties prenantes non gouvernementales.
  • Rôle des acteurs non gouvernementaux dans l'universalisation et la mise en œuvre du Protocole relatif au trafic illicite de migrants, notamment en ce qui concerne la lutte contre les causes profondes, la protection et l'assistance, ainsi que la coopération internationale.

o Comment les acteurs non gouvernementaux peuvent-ils contribuer à l’universalisation du Protocole relatif au trafic illicite de migrants, et où voyez-vous un rôle particulièrement important pour les acteurs de la société civile dans la fourniture de mesures de protection et d’assistance aux migrants objet d’un trafic illicite

o Comment la coopération entre les acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux, y compris le secteur privé, peut-elle être améliorée pour mieux répondre aux besoins de protection et d'assistance des migrants objet d'un trafic illicite ?

o Quelle serait la mesure la plus importante qui serait nécessaire pour mieux lutter contre ce crime ? (sachant que c'est bien sûr complexe et nécessite une approche holistique)

o Quels sont les défis et les opportunités pour les parties prenantes non gouvernementales, y compris le secteur privé, dans leur engagement auprès des États parties pour permettre une mise en œuvre plus forte du Protocole relatif au trafic illicite de migrants ?


  • Besoins d'assistance technique des États parties et engagement/participation des parties prenantes non gouvernementales, en particulier en ce qui concerne la résolution des causes profondes, la protection et l'assistance, ainsi que la coopération internationale.

o Comment les États parties et l'ONUDC pourraient-ils accroître l'engagement et la participation des parties prenantes non gouvernementales, y compris le secteur privé, dans la mise en œuvre du Protocole relatif au trafic illicite de migrants, en particulier en ce qui concerne les questions de coopération internationale, les causes profondes du trafic illicite de migrants et la fourniture de services des mesures de protection et d’assistance pour les migrants objet d’un trafic illicite ?

o Quels sont les formats prometteurs pour garantir la participation et l'engagement significatifs des parties prenantes non gouvernementales, y compris le secteur privé, dans la mise en œuvre du Protocole relatif au trafic illicite de migrants.

o Dans quelles parties du Protocole relatif au trafic illicite de migrants les parties prenantes non gouvernementales voient-elles la nécessité d'une assistance technique élargie aux États parties

o Comment les acteurs non gouvernementaux peuvent-ils contribuer à la capacité technique des États à identifier les besoins de protection et d'assistance des migrants objet d'un trafic illicite ? Et comment peuvent-ils contribuer à évaluer l’efficacité des mesures de protection et d’assistance actuellement mises en place par les États ?


  • Approches centrées sur le genre, la jeunesse, les droits de l’homme et les victimes pour prévenir et contrer le trafic illicite de migrants, notamment en ce qui concerne la lutte contre les causes profondes, la protection et l’assistance, ainsi que la coopération internationale.

o Comment les dimensions de genre et les facteurs d'âge influencent-ils les risques encourus par les migrants objet d'un trafic illicite, et comment devraient-ils façonner les stratégies de réponse nationales, y compris celles liées aux mesures de protection et d'assistance pour les migrants objet d'un trafic illicite ?

o Quel rôle les jeunes peuvent-ils jouer dans la prévention et la lutte contre le trafic de migrants, et comment les gouvernements et autres parties prenantes peuvent-ils mieux les impliquer dans ces efforts ?

o À quoi ressemblent les approches fondées sur les droits de l’homme pour lutter contre le trafic illicite de migrants et fournir des mesures de protection et d’assistance aux migrants objet d’un trafic illicite, et quels sont leurs avantages et défis potentiels ?

o Quelles mesures de protection et d’assistance sont particulièrement utiles et nécessaires pour les femmes et les enfants victimes d’un trafic ? Que devrait-on conseiller aux États d’améliorer à cet égard ?

o Comment les organisations de la société civile peuvent-elles garantir que les migrants objet d'un trafic illicite ont accès à des mesures de protection et d'assistance fondées sur les droits humains, sensibles au genre et à la culture et adaptées à l'âge



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